Une ancienne avocate devenue humoriste pour défendre les droits des femmes!
C'est avec sourire et pédagogie (elle a fait des études de droit, bien sûr) qu'elle parle sans faiblir de la soumission des femmes en France, particulièrement, tout en remontant à Dieu, Adam et Eve.
Avec justesse et une explosion de rires, elle nous conte les absurdités de la loi française ou des lois françaises qui se sont succédées, comme le port du pantalon interdit aux femmes jusqu'en 2013.
Le public suit parfois avec lenteur, redoutant peut-être ce qu'elle va ajouter.
J'avais déjà vu ce spectacle à Montigny, l'an passé....et il m'avait semblé meilleur: salle plus petite, public plus regroupé, scène plus haute...En fait, elle semblait parler à des amis et recourait moins aux grimaces abondantes d'hier soir qui m'ont beaucoup gênée.
Je resterai sur ma première impression d'une femme intelligente, sympathique, une avocate des femmes, pas si cinglante que ça envers les hommes.
A suivre....
Annick
bien qu’étant toujours sceptique sur la qualité d’un humoriste je suis allée assister au spectacle de Caroline Vigneaux connaissant son passé d’avocate et sa franchise dans son expression .
j’ai été frappée par son dynamisme, son éloquence, sa simplicité à aborder des situations concrètes concernant chaque individu dans sa vie quotidienne mais …. J’ai trouvé trop de lourdeur à se complaire à decrire des scènes intimes . Et cela n’apportait rien au spectacle à mon humble avis .
c’etait trop cru pour moi.
bravo à elle pour son engagement concernant la situation de nombreuses femmes dans le monde .
genevieve
J’avoue avoir découvert Caroline Vigneaux …à la télévision avec son spectacle : Caroline croque la pomme. Cette ex-avocate évolue avec aisance devant son public et traite de la condition féminine depuis Adam et Eve à la façon d’une conférence qui ne se prend pas au sérieux (à rapprocher de Alex Vizorek peut-être) mais qui a le mérite de parler sans fard. Elle termine son spectacle par un rappel de femmes qui ont payé de leurs vies la défense de leurs droits, histoire de nous rappeler que rien n’est acquis et/ou que tout reste à faire. J’irai volontiers assister au film prévu à Montigny le 09 mars 2023 en attendant d'aller la voir "pour de vrai".